Dans une atmosphère alliant détente et symbolisme, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Roi du Royaume du Maroc, passe des vacances spéciales aux Émirats Arabes Unis, un pays avec lequel le Maroc entretient des relations stratégiques et fraternelles solides.
🚨🚨 Le Roi Mohammed VI en vacances aux Émirats Arabes Unis 🇦🇪
Sa Majesté se promène dans un mall avec son garde du corps, le combattant de Jiu-Jitsu brésilien et MMA Youssef Kaddour, originaire de Melilla. 👏🏻👏🏻
Que Dieu bénisse Sa Majesté pic.twitter.com/DXa6N3OXum
— mmamag.ma (@jamalsoussi10) January 4, 2025
Ces vacances suivent une période d’activités officielles intenses, où Sa Majesté a été vue élégamment se promenant dans l’un des grands centres commerciaux, suscitant un large intérêt au Maroc et au-delà.
Symbolisme du garde du corps : Youssef Kadour et les champions du jiu-jitsu
Ce qui attire particulièrement l’attention lors de cette visite, c’est la présence du garde du corps personnel de Sa Majesté, Youssef Kadour, reconnu comme l’un des plus grands champions de jiu-jitsu brésilien et d’arts martiaux mixtes.
Originaire de Melilla, Kadour jouit d’une grande renommée dans ce domaine, tant au niveau national qu’international, et sa présence aux côtés du Roi témoigne de la confiance que Sa Majesté accorde aux champions sportifs, ainsi qu’à leur rôle dans la promotion de l’image positive du Maroc.
Questions nécessitant des réponses :
- Quels messages l’accompagnement d’un champion sportif parmi l’entourage royal véhicule-t-il ?
- Cette reconnaissance royale peut-elle être un catalyseur pour développer les politiques sportives au Maroc ?
Défis du jiu-jitsu au Maroc : Entre soutien royal et marginalisation institutionnelle
Malgré la confiance évidente du Roi envers les champions de jiu-jitsu, ce sport fait face à des défis considérables au Maroc. La Fédération Royale Marocaine de Jiu-Jitsu Brésilien, dirigée par le maître Jamal El-Soussi, subit une marginalisation manifeste de la part du ministère en charge des sports. Bien que Jamal El-Soussi bénéficie d’une reconnaissance internationale en tant qu’une des personnalités les plus importantes dans ce domaine, ses efforts pour développer le jiu-jitsu au Maroc sont freinés par ce qui est décrit comme un « blocus institutionnel ».
Questions essentielles :
- Quelles sont les véritables raisons de cette marginalisation ?
- Comment peut-on exploiter la reconnaissance internationale du maître Jamal El-Soussi pour soutenir le sport au Maroc ?
Les Émirats et le Maroc : Relations fraternelles et soutien continu
La visite de Sa Majesté aux Émirats met en évidence les relations solides entre les deux pays, qui s’étendent aux domaines politique, économique et culturel. La présence du Roi aux Émirats reflète la profondeur de ces liens, qui se renforcent à travers des valeurs communes et des partenariats stratégiques. Le soutien des Émirats au jiu-jitsu brésilien en fait un modèle à suivre pour promouvoir le sport en tant qu’outil diplomatique et social.
Points à réfléchir :
- Comment le Maroc peut-il tirer parti de l’expérience des Émirats pour développer des sports comme le jiu-jitsu ?
- Les relations bilatérales peuvent-elles inclure une coopération sportive à grande échelle ?
Les vacances du Roi : Plus qu’une simple pause
Au-delà de la symbolique sportive, les vacances de Sa Majesté aux Émirats offrent l’opportunité de renouveler son énergie et de souligner les liens fraternels entre les peuples marocain et émirati. Elles envoient également des messages implicites sur l’importance de la culture et du sport en tant que pont entre les nations.
En conclusion : Les vacances peuvent-elles être un message ?
La présence d’un champion sportif comme Youssef Kadour parmi l’entourage royal n’est pas un détail anodin ; c’est un message clair sur le rôle des champions sportifs dans la représentation du Maroc et dans l’amélioration de son image internationale. Cette visite pourrait-elle être un moteur pour améliorer la situation du jiu-jitsu au Maroc ? Les soutiens royaux pourront-ils se traduire par des actions concrètes pour soutenir les sportifs et faire avancer le sport marocain ?