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mardi, octobre 14, 2025

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Charles Oliveira renaît à Rio et lance un défi audacieux à Max Holloway : “Faisons de ce combat un spectacle !”

Ce samedi soir à Rio de Janeiro, l’octogone s’est transformé en théâtre d’émotion et de renaissance. Charles Oliveira, l’enfant du Brésil et ancien champion des poids légers de l’UFC, a offert à son public une victoire éclatante face au Polonais Mateusz Gamrot, le soumettant par étranglement arrière au deuxième round, à 2 minutes et 48 secondes.

Une fin spectaculaire, une explosion de joie dans les gradins, et le sentiment qu’Oliveira venait de reconquérir bien plus qu’un simple combat : sa place, son honneur et son feu intérieur.

Après la victoire, submergé par l’émotion, “Do Bronx” a laissé entrer sa famille dans la cage. Il a pris le micro, la voix tremblante mais le cœur fier :

« J’essaie de retenir mes larmes… Tout cela, c’est pour vous. Ce n’est pas une question d’argent, de gloire ou de statut. Je m’en fous — c’est pour le Brésil ! »

Analyse technique et humaine du combat :

Dès les premières secondes, Oliveira a imposé son rythme. On l’a senti concentré, discipliné, et surtout animé d’une force intérieure retrouvée. La défaite face à Ilia Topuria n’était plus une cicatrice, mais une leçon digérée. Il a pressé Gamrot sans relâche, contrôlant la distance et forçant le Polonais à réagir plutôt qu’à construire.

Au premier round, Gamrot a tenté d’amener le combat au sol, mais Oliveira s’est immédiatement montré dangereux. Grâce à des transitions rapides et une précision chirurgicale, il a réussi à prendre le dos de son adversaire, à frapper, puis à verrouiller sa position. Le Polonais, coincé, a cherché l’échappatoire sans jamais la trouver.

Le deuxième round n’a fait que confirmer l’inévitable. Oliveira, dans son élément, a resserré son piège avec un étranglement arrière implacable. Gamrot a résisté quelques secondes, avant de taper. Le public a explosé : Rio vibrait à nouveau au rythme de “Do Bronx”.

Un message, un défi, une nouvelle flamme :

Mais la soirée ne s’est pas arrêtée à cette victoire. Oliveira, porté par la ferveur du public, s’est tourné vers Hunter Campbell, le directeur des affaires de l’UFC, et a lancé un défi clair et direct :

« Hey Hunter ! Charles Oliveira contre Max Holloway, pour le titre BMF ! Faisons ce spectacle ! »

Un appel audacieux, sincère, presque poétique. Oliveira ne cherche plus simplement à gagner — il veut marquer l’histoire.

Questions pour la suite :

  • Ce triomphe signe-t-il le véritable retour d’Oliveira parmi l’élite des poids légers ?

  • Son approche émotionnelle et spirituelle du combat est-elle la clé de cette renaissance ?

  • Et si ce duel contre Holloway voyait le jour, serait-ce un simple affrontement… ou le début d’une nouvelle légende ?

Ce soir-là à Rio, Charles Oliveira n’a pas seulement soumis un adversaire. Il a soumis le doute, la peur et tout ce qui le retenait en arrière. L’homme et le combattant ne faisaient plus qu’un — et le Brésil a retrouvé son héros.

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